Souffle
Ding! Dong! font mes deux pieds,
Flash… lumière.
Où résonne mes pas d'automne égarés.
Silence.Néant, ce n'est plus sa mort qui se fait, mais ma solitude qui renaît.
Ding! Dong! font les lumières de grues, Flash… lumière. Où résonne l'ombre de l'homme perdu. Silence.
Néant, ce n'est plus sa mort qui se fait, mais ma solitude qui renaît.
Je suis une disjonctée.
Commentaires :
Anonyme
07-11-03
à 16:51
Re: Ding Dong
Bah c'est la mort de l'autre qui donne vie à la solitude.
Oui disjonctée de par mes réactions pathétiques.
Oui disjonctée de par mes réactions pathétiques.
Re: Re: Ding Dong
Je prendrai sous peu le temps de parcourir ton joueb un peu plus longuement, en espérant peut être te redonner un peu de coeur à vivre, même si dans la sollitude.
Toute sollitude est relative...
Il ne fout pas le considérer, il faut la contrer, la dépasser, mais il vrai que ce n'est pas tjrs facile...
D'ici là, au plaisir et bon WE :)
Toute sollitude est relative...
Il ne fout pas le considérer, il faut la contrer, la dépasser, mais il vrai que ce n'est pas tjrs facile...
D'ici là, au plaisir et bon WE :)
Ding Dong
Ta sollitude qui renait.
Qu'est ce qui lui a redonné vie ?
Disjonctée, frustrée par la sollitude ? à ce point ?