La sonnerie annonçant la fermeture des portes du train bourdonna quelques secondes. Au même moment, mes yeux enfantaient des étoiles, ce début de voyage m’extirpait peu à peu de mon bagne émotionnel. Je sentais l'impatience me pointer du doigt.

S’en ai suivi: Une Caro toujours aussi jolie, une visite chez Robert, puis un concert sucré au Baiser salé.

Particules d’amours, particules de couleurs, particules de sons.

Déjà une heure du matin et un Paris presque silencieux. J'ai tourné ma bouche vers le ciel et soufflé très fort pour chasser les nuages, bah tu me crois ou non, mais ils ont tous disparu. J’ai compté les étoiles plusieurs fois pour être sûr de n’en manquer aucune, y’en avait trente.

Le bus arrive, j’envoie un bisou à la Grande Ours et regagne mon coma psychique.

Commentaires :