L’abondance de mes mots pour ne rien dire
Hier soir je n’ai su quoi dire, tes confessions dans un écrin de douceur. Le destin fout sa merde et j’en deviens muette. J’aurais préféré t’offrir des gestes et des regards, des maladresses de compassions.
J’effleure le présent pour moins paraître. Qu’on peut se trouver bête derrière un écran.
T’es quelqu’un de bien, Julien.