" Sretan rodzendan ina "
Je boite, je boite comme quand on ne sait pas, sauf que je sais. Ca fait toujours bien de savoir. Des mots slaves dans une fenêtre et de la poésie dans ma tête.
Y’a surtout ses mots à lui, ses balbutiements de tendresse où rebondissent mes rêveries. C’est timide et discret, presque différent, presque bien.
Si c’était pas toujours éphémère aussi.
Quand c’est autant agréable et inattendu j’ai du mal à relativiser.
Non ça s’peut pas.