On était encore fourées dans le parc.

La fin de vodka tagada n’a pas fait long feu. Je la regardais chanter (Pas la vodka hein) pendant que ça se bousculait partout à l’intérieur, des bulles de satisfactions. Elle était belle et moi j’étais heureuse, alors peut être j’étais belle aussi. Et elle heureuse. So’.

Une lune presque pleine, des paysages presque vrais. J’ai fait le point, sur mon parcours, sur mes faux pas et mes bifurcations. Bah tu sais quoi, je suis contente.

Après j’ai un peu saoulé Mel au téléphone, parce que j’avais peur toute seule.

Putain, je me sentais vivre.