La fatigue alourdie les émotions
Sur le chemin j’ai des frissons, pour du Mano et du Lynda.
J’aime pas qu’on coupe des fleurs pour les foutres dans des vases. J’aime pas savoir des chiots en cages.
J’ai ce genre de convictions soyeuses gardées dans le fond d'un coeur banal, par peur d’une hémorragie sentimentale.
Elle veut pas me laisser toute seule. Elle croit que c’est comme ça que je trouverais une entreprise, en prenant trois semaines de vacances.
J’ai envie de gerber, je l’aime pas, c’est la fatigue.