Non, ceci n'est pas un préambule destiné à un quelconque exposé fasciste, en fait, je me demande vraiment en ce moment, si ce que nous avons coutune de nommer "bien" est bien, ou l'inverse. Bien sûr, la notion de bien est subjective, elle s'adapte à chacun, mais d'une manière générale, je m'interroge sur la veracité, pour ne pas evoquer la crédibilité, des valeurs génériques de " bien " et de " mal ".
L'Homme a tjs en tête des définitions communes du " bien " ou du " mal "
Je revendique officiellement cette valeur et tout ce qui s'y ramène.
Le bien, comme l'entend la gente humaine, est constitué d'une multitude de petits principes sommaires, très distants, qui viseraient soi-disant l'homme à possèder une vie saine, une vie de prime abord " politiquement correct "
Bien sur je ne detaillerai pas ce que je nomme " petits principes sommaires ", ça ne serait pas très objectif. Mais, c'est très facilement remarquable, ils n'apportent à l'homme qu'une condition de vie apte à l'intégrer à une société cosmopolite, bienveillante, et, malgré tout, ingrate, car, quand bien même certaines habitudes de l'homme pourraient gener les autres hommes, je ne vois pas ce que certaines peuvent bien foutre à autrui.
Ces principes permettraient à l'homme de pouvoir se coiffer d'un halo quand il sort acheter son magazine télé.
En gros, pour faire le bien, on fait le mal.
Et c'est là que je pose ma revendication, car si la resplendissante luminosité spirituelle d'un homme s'associe à un diktat de ses habitudes et de son comportement, alors je ferai de la noirceur la plus totale l'intégralité de ma vie.
Ou est le plaisir d'avoir une vie ou tu refuses de multiples sources de plaisir ?
A quand l'epicurisme adapté à la communauté ?
Pour avoir du plaisir à vivre, il faut vivre de plaisir, mais savoir qu'on sacrifie inutilement et sans but d'autres sources de plaisir, c'est diminué un peu son plaisir personnel ..
A faire le bien, on fait le mal.
Commentaires :
Michel Onfray
Tu es mature pour la lecture de « Théorie du corps amoureux, ouverture - Michel Onfray » dont voici un passage.
« Premier lieu commun généré par l'histoire platonicienne d'Aristophane : le désir est manque. Première idée à détruire quand on se propose le renversement du platonisme sur la question des relations sexuées... »
et puis j'avais écrit ceci sur la notion du plaisir
En fait peut-être que le monde n'est pas blanc et noir mais s'étale dans un dégradé
Nietzche...
(je peux pas le résumer en si peu de lignes mais bon..)
Ca peut peut être t'interesser.. (enfin sans doute même).
(mais peut être l'as tu déjà lu ?)